Les pharmacies en ligne, aussi baptisées e-pharmacies, sont des entreprises qui vendent des produits parapharmaceutiques et des médicaments à distance, via un site internet. Il y a également les parapharmacie discount, qui proposent des produits de parapharmacie à des tarifs réduits. Contrairement aux pharmacies et parapharmacies physiques traditionnelles, ces entreprises sont beaucoup plus libres et moins conventionnelles, mais elles sont soumises à des obligations assez strictes. Par exemple, elles ne peuvent vendre que des médicaments commercialisés sans ordonnance et doivent avoir un permis auprès des pouvoirs sanitaires. Ces obligations permettent d’assurer la sécurité des clients en évitant la commercialisation de médicaments contrefaits. Par ailleurs, les procédures de création d’une pharmacie en ligne sont très strictes afin d’éviter les risques sur la santé. Pour ouvrir une pharmacie en ligne, il faut donc respecter la loi régie par l’ordonnance n° 2012-1427 qui date du 19 décembre 2012. Cette législation mentionne que la création d’une e-pharmacie requiert l’obtention d’une autorisation auprès de l’Autorité Régionale de la Santé (ARS). Puis, avant d’ouvrir la plateforme de vente, l’e-pharmacie doit disposer d’une officine physique agréée ou être associée à une pharmacie physique. Une e-pharmacie doit également avoir des assurances médicales.
Comme toutes entreprises commerciales en ligne, chaque e-pharmacie publie sur son site la liste des produits parapharmaceutiques et des médicaments pour enfants et adultes qui sont disponibles. Si un client veut acheter l’un de ces produits, il doit au préalable remplir un dossier d’inscription avant de passer ses commandes. Ce dossier renferme certaines données concernant le client comme son identité, son âge et son adresse. S’il veut devenir un client officiel et régulier de l’e-pharmacie, il peut créer un compte à son nom sur le site en question. Après ces démarches, le client doit payer ces commandes avant de les récupérer directement auprès de l’officine physique du site. Mais il peut aussi contacter un service de livraison qu’il doit payer. Pour fidéliser leurs clients, certaines e-pharmacies incluent déjà dans leurs services la livraison des produits achetés. Ainsi, les clients ne payent plus les frais de livraison qui sont déjà compris dans le coût de la marchandise. Pour montrer leur professionnalisme auprès des clients, la plupart des pharmacies en ligne ne vendent des produits qu’aux personnes âgées de plus de 16 ans. En outre, les commandes doivent être destinées à un traitement à court terme, 1 mois tout au plus. Dans le cas contraire, les clients doivent donner des explications ou fournir une ordonnance médicale. À noter que les pharmacies en ligne présentent l’avantage d’être plus disponibles, plus fonctionnelles et pratiques.
Un généraliste n’a pas besoin du même divan d’examen que les spécialistes. Les médecins de ville demandent souvent à avoir une table polyvalente avec une hauteur réglable. Cela leur évite de se courber et d’avoir mal au dos au fil des années. De leur côté, les chirurgiens esthétiques préfèrent disposer d’un équipement modulable. Le patient peut se mettre en position semi-couchée ou totalement horizontale. Ces modifications sont possibles grâce à des vérins hydrauliques ou électriques. Pour sa part, le gynécologue insiste sur le confort de la personne à ausculter. Le matériel obstétrique devrait présenter divers étriers, notamment ceux qui servent à accueillir les jambes de la patiente. Dans tous les cas, la place dont le praticien dispose dans son cabinet est déterminante sur le type d’équipement qu’il utilise.
La sellerie est un détail qu’il faut considérer. Les patients méritent de s’asseoir ou bien de s’allonger sur une table d’auscultation confortable. Qu’il vienne pour une échographie ou un toucher rectal, le client doit apprécier la douceur du mobilier médical. L’idéal serait d’avoir un matériel qui peut se laver à grande eau pour éviter toute transmission de maladie par contact cutané. Le cuir reste une option, mais certains types de plastique offrent aussi une bonne résistance à l’usure. Le matelas à l’intérieur de la housse devrait intriguer l’utilisateur. Actuellement, la mousse polyuréthane confère d’excellentes performances. Les fabricants ajoutent parfois une résine spéciale pour procurer une densité idéale. Proche de 30 kg/m3, le rembourrage serait à la fois ferme et souple. Dans tous les cas, il faut une épaisseur environnant les 10 cm.
Eh oui, la vie est dès fois compliquée. À une période, on évite à tout prix de tomber enceinte et on se fait prescrire une contraception, et à une autre, quand on en veut finalement, on n’y parvient pas. Soyez patiente ! C’est la première règle à suivre. Il ne suffit pas d’arrêter la contraception pour tomber enceinte. Votre médecin vous recommandera certainement de persévérer au moins un an…
Pour augmenter votre chance de tomber enceinte, déterminez votre période d’ovulation pour faire des rapports. Pour cela, il faut d’abord bien connaître la durée de votre cycle. C’est la période qui va du premier jour de vos règles au premier jour de vos règles suivantes. Cela peut être de 24 à 36 jours. Ensuite, pour trouver le jour J, vous comptez à l’envers. La date d’ovulation se situe entre 12 à 14 jours avant la fin du cycle. Trop compliqué ? La durée de vie des spermatozoïdes dans l’utérus est environ de 72 heures. Si vous ne souhaitez alors pas vous casser la tête à calculer votre jour d’ovulation, faites souvent l’amour, et ne restez pas plus de trois jours sans sexe. Cela optimisera vos chances de grossesse.
Parmi certaines idées reçues figure celle selon laquelle il faut adopter une position spéciale lors du rapport pour permettre aux spermatozoïdes d’atteindre le col de l’utérus. Jusque-là, cela reste une idée reçue, non prouvée scientifiquement. Mais rien ne vous empêche de l’essayer si vous pensez que cela vous aide à mettre toutes les chances de votre côté…
Qui ne sait plas encore que fumer et boire n’est pas top pour la santé ? Cela nuit à la fertilité. Selon des études, le tabac fait diminuer la sécrétion d’œstrogène et réduit ainsi la fécondité. Il va donc vous falloir arrêter la cigarette pour que votre fertilité ne parte pas en fumée ! La consommation d’alcool nuit également aux ovules et affecte votre fertilité.
Pour tomber enceinte, il vous faut une vie saine. Faites également attention à votre alimentation. Faites-le plein de vitamines A, B6, B12, C et E qui favorisent la fertilité. Pratiquez aussi un peu de sport. Cela contribuera à votre bien-être mental et physique, deux choses indispensables quand on souhaite tomber enceinte.
Si après des mois d’attente, le petit bébé ne veut toujours pas venir, tournez-vous vers les médecines douces. L’acupuncture, la phytothérapie, l’homéopathie… peuvent vous aider à tomber enceinte en régulant vos fonctions biologiques et en vous permettant de mener une vie plus zen. Sachez en effet que fertilité et stress ne font pas bon ménage. Des études ont par ailleurs déjà montré que 25% des problèmes d’infertilité sont liés au stress.
Enfin, si le couple ne parvient pas à concevoir un enfant, il peut recourir à la fécondation in vitro. C’est également grâce à cette solution que les femmes en fauteuil roulant peuvent accéder au rêve de devenir maman. Sachez toutefois qu’avant de vous proposer cette solution, votre médecin vous proposera d’autres méthodes telles l’insémination artificielle ou encore la prise de médicaments qui stimulent la production d’ovules.
]]>
L’impuissance est l’incapacité totale ou partielle d’obtenir ou de conserver une érection suffisamment forte pour faire l’amour, jouir et donner du plaisir à l’autre. Elle touche les hommes à partir de 40 ans et particulièrement les plus de 60 ans. Oui mais, elle peut également concerner les jeunes. L’impuissance est donc favorisée par l’âge, mais également par de nombreuses maladies comme le diabète, l’obésité, l’hypertension et les anomalies lipidiques.
Les différentes maladies qui touchent directement l’organe sexuel de l’homme peuvent aussi causer l’impuissance. Citons entre autres l’hyperlapsie de la prostate, l’hypogonadisme ou perte de fonction des testicules, l’hyperprolactinémie ou la maladie de la thyroïde.
La dysfonction érectile peut être liée à de mauvaises habitudes de vie comme le tabac et le manque d’exercice physique.
L’impuissance peut être également favorisée par des troubles endocriniens et des troubles psychogènes. Elle est causée par tout problème affectant le fonctionnement des vaisseaux sanguins empêchant la concentration du sang dans la verge pendant l’érection.
La consultation commence par un questionnaire pour détecter les troubles de l’érection. Les questions posées sont formulées sur 5 axes définis par l’index international de la fonction érectile ou IIEF-5. Vous pouvez consulter un médecin généraliste ou encore un sexologue pour trouver le traitement adéquat. Quoi qu’il en soit, le traitement doit être fixé en fonction de la cause même du trouble, selon qu’il s’agisse d’un problème ayant une cause organique ou psychogène. Ensuite, il faut évaluer la sévérité du cas en fonction du patient. Puis, le médecin peut effectuer un examen physique de la prostate, de l’organe génital externe et des systèmes endocriniens et vasculaires. Il effectuera également une investigation clinique pour analyser le taux de glucose et de lipides, la concentration de testostérone, le taux de prolactine et les fractions HDL et LDL du cholestérol. Il peut aussi examiner l’hémodynamique du pénis pour vérifier si le problème ne vient pas d’une insuffisance artérielle ou d’un problème d’occlusion veineuse.
Comme vous pouvez le voir ici, il existe une solution à l’impuissance. Mais n’oubliez pas que le traitement à adopter dépend entièrement de la cause révélée de la dysfonction érectile. Concernant les problèmes d’ordre organique, il faut parfois adopter une bonne hygiène de vie et pratiquer un exerce physique régulier pour améliorer l’érection. Si la cause est psychogène, il faut entreprendre une thérapie sur le plan psychologique, sexuel et social. Le médecin peut alors vous recommander des thérapies de couple et prescrire des médicaments pour rétablir les troubles érectiles. Ces médicaments servent à augmenter le flux sanguin vers le pénis lors de l’excitation pour retrouver une érection suffisamment forte. Si les médicaments ne sont pas efficaces, on peut vous prescrire l’utilisation de dispositif comme une pompe à pénis ou des implants péniens pour déclencher de façon mécanique l’érection.
Green Vapes est une entreprise française qui produit des e-liquides d’excellente qualité. Ce qui distingue Green Vapes des autres fabricants d’e-liquide est que ses arômes ne renferment ni de parabène, ni de dediacétyle, et ni de ambrox. Par ailleurs, les arômes de l’e-liquide Green Vapes sont très variés, du plus classique au plus sophistiqué, comme le thé à la menthe, le melon de Cavaillon, la fraise des bois, etc. Selon vos goûts, vous pouvez choisir parmi différentes gammes d’e-liquide chez Green Vapes. Vous avez la classique, les Plaisirs Gourmands, le Full Vaping, le Cust’Art, le All Green, le Amethyst et les Fruités Frais.
Le choix du e-liquide dépend de votre goût et de vos besoins en termes de nicotine. Vous devez donc choisir le taux de nicotine correspondant à votre consommation habituelle de cigarette classique au début. Puis, vous pouvez diminuer petit à petit ce taux pour réduire le besoin et ne plus avoir à fumer à l’avenir. Par exemple, pour un dosage de 1,0 mg de nicotine sur un paquet de cigarettes traditionnelles, le taux correspondant d’un e-liquide est de 20 mg/ml. Pour un dosage de 0,8 mg de nicotine sur un paquet de cigarettes traditionnelles, le taux correspondant d’un e-liquide est de 16 mg/ml. Notons que, plus le taux de nicotine est important, plus la sensation ressentie par le vapoteur à la contraction de la gorge est agréable. Néanmoins, il ne faut pas faire un surdosage.
Côté saveur, vous pouvez choisir selon vos goûts personnels. Toutefois, vous devez savoir que les saveurs-tabacs d’un e-liquide ne ressemblent pas vraiment au goût d’une cigarette classique. Par contre, les saveurs fruitées et gourmandes sont assez semblables. Pour pouvoir oublier rapidement les saveurs de la cigarette traditionnelle, le mieux est de changer de temps en temps le goût du e-liquide.
Si vous voulez vous tourner vers les e-cigarettes, vous devez savoir que les e-liquides qu’ils renferment sont déconseillés aux personnes allaitantes, enceintes, allergiques à la nicotine, sujettes à l’hypertension et qui ont des risques cardio-vasculaires. Avant d’en consommer, vous devez aussi demander aux fournisseurs les composants du e-liquide. Généralement, un e-liquide peut être composé de cinq à six composants, dont le Propylène glycol, de l’eau, du Glycérine végétal, des arômes, de l’alcool et de la nicotine. Dans certains cas, on y trouve aussi des additifs permettant de relever les saveurs.
La plupart des vapoteurs sont des fumeurs de cigarette classique qui veulent arrêter de fumer définitivement. Leur but est de commencer un processus de sevrage en modifiant leur consommation de cigarette classique. Grâce au e-liquide contenu dans l’e-cigarette, le vapoteur peut contrôler le taux de nicotine qu’il consomme chaque jour et améliore ainsi sa santé. Selon un rapport scientifique publié dans le Public Health England (PHE) en 2015, fumer l’e-cigarette est 95 % moins risqué que de fumer la cigarette traditionnelle.
Un électrocardiographe mesure les variations de potentiel électrique des cellules. Ces dernières sont choisies avec soins. En effet, l’ECG utilise des électrodes au niveau des cellules responsables de la contraction, de l’automatisme ainsi que de la conduction des influx. L’utilisation de cet appareil s’appelle l’électrocardiogramme. L’écran sur lequel les graphes apparaissent se nomme électrocardioscope. Les données sont instantanément tirées sur du papier puisque l’appareil a une imprimante intégrée. Le nombre de graphes sur le papier peut varier d’un appareil à l’autre avec des indications à 3, 6 ou 12 pistes.
L’ECG se décline en plusieurs catégories. Les médecins généralistes utilisent souvent des modèles portatifs. Pour leur part, les cardiologues utilisent une version plus performante. Il y a notamment l’électrocardiographe Shiller. Pour faciliter la tâche, les médecins préfèrent généralement les appareils avec interprétation automatique. Quoi qu’il en soit, le type d’électrocardiographe dépend de l’objectif visé. En plus des cliniques médicales, l’ECG est couramment utilisé pour le suivi des sportifs de haut niveau pour améliorer les séances d’entrainement.
La lecture et l’interprétation des graphes de l’ECG demandent beaucoup de pratiques. Pour aider le diagnosticien à mieux comprendre les données, les appareils sont souvent livrés avec un logiciel dédié. Cet outil apporte des explications et rappelle par exemple les valeurs normales chez une personne en bonne santé. Cela dit, l’électrocardiogramme rencontre aussi des limites en ce qui concerne le diagnostic de certaines maladies cardiaques. Un rythme cardiaque régulier peut camoufler d’autres anomalies. C’est pourquoi il est important d’investir sur des ECG performants avec des données très complètes. Puis, la capacité à les interpréter compte également.
Les équipements pour les diagnostics sont pour le moins ceux que l’on voit le plus souvent. Pas la peine de travailler dans un hôpital pour en avoir besoin. Même le médecin de compagne se doit d’en avoir. Ce sont notamment les thermomètres, les tensiomètres et bien d’autres. Mais attention, ce peut être aussi des appareils sophistiqués comme ceux nécessaires les IRM et les ultra-sons.
Leur rôle ? Permettre d’identifier avec précision l’origine du mal du patient et de proposer des remèdes adéquats.
Quand on parle d’équipement thérapeutique, il n’est pas seulement question des médicaments et des piqures. C’est bien plus complexe que cela. Ce sont les perfusions, les matériels pour les différentes opérations chirurgicales, etc.
Ce second type d’équipement médical est surtout usité dans les centres de soins et les hôpitaux. Bien évidemment, ceux qui souhaitent se faire soigner à la maison peuvent en demander auprès de ces établissements moyennant des frais et la présence d’une infirmière à temps plein.
Les appareils vitaux comme leur nom l’indique sont ceux qui peuvent aider à maintenir la vie d’un patient, surtout si le pronostic vital est engagé. Ce peut être les implants de toutes sortes, les appareils de dialyse, les ventilateurs, etc.
Le but n’est plus simplement ici de soigner, mais de garder les fonctions vitales du corps pour permettre aux patients de gagner du temps, et dans le meilleur des cas, de se réveiller et de guérir.
Agissant dans les coulisses, les équipements de laboratoires sont souvent les laisser pour compte des équipements médicaux. Et pourtant, sans les analyses et les éprouvettes de toutes sortes, il est parfois impossible de déterminer les causes des symptômes d’un patient et de proposer des soins.
Les médicaments stimulants sont surtout à prendre le matin. Il s’agit par exemple des antidépresseurs, des traitements hormonaux thyroïdiens ou des corticoïdes prescrits pour les crises d’asthme.
Par contre, les médicaments qui entraînent une certaine somnolence sont à prendre le soir dont notamment les antalgiques opiniacés (codéine, tramadol) et les antihistaminiques. Les inhibiteurs de pompes à proton qui protègent des sécrétions gastriques sont également plus efficaces la nuit ainsi que les médicaments contre l’hypertension.
Ces timings ne sont pas cependant absolus. On peut y déroger en cas d’urgence. Il faut juste prendre certaines précautions comme éviter de conduire une voiture après avoir pris un médicament entraînant la somnolence.
Il est préférable de prendre les antibiotiques, les biphosphonates contre l’osthéoporose et la levothyroxine une demi-heure avant de se mettre à table. En effet, ils sont plus efficaces à jeun. Certains médicaments sont en revanche à prendre au cours du repas : le tramadol qui donne la nausée à jeun et les anti-inflammatoires non stéroïdiens pour protéger l’estomac.
L’alcool est à bannir avec les médicaments qui agissent sur le système nerveux tels que les anxiolytiques, les antidépresseurs et les neuroleptiques pour des raisons évidentes. L’aspirine ne doit pas en outre associé à l’alcool car cela fatigue le foie. Pour les antibiotiques, il est conseillé de lire les notices car si certains ne sont pas à prendre quand on consomme de l’alcool (céphalosporines, cyclines), un verre de vin ne posera pas de problème pour d’autres (ampicillines, quinolones).
Le pamplemousse quant à lui augmente les effets indésirables des anticholéstérols, des antidépresseurs, des immunodépresseurs et de certains anticancéreux (docétaxel). Dans tous les cas, il faut bien lire la notice.